Angéline est étudiante en double diplôme d'ingénierie mécanique à l'ESILV et l'université de Coventry (Angleterre).

 
Mastersbooking : Comment avez-vous intégré l'ESILV (Ecole Supérieure d'Ingénieurs Léonard de Vinci) ?

Angéline : J'ai eu un Bac scientifique en Espagne et j'ai intégré la prépa de l'ESILV via APB. Car j'étais intéressée par l'informatique et la mécanique. L'école avait aussi l'avantage de proposer 3 stages sur l'année. La proximité de l'école avec les entreprises de La Défense m'a aussi décidée,  tout comme la diversité des projets annuels.
 

Mastersbooking : Comment avez-vous choisi la spécialité « mécanique » ?

Angéline : Après mes deux années de prépa, j'ai fait un stage qui m'a permis de découvrir le métier d'ingénieur. J'ai alors suivi deux modules en troisième année : la mécanique et les nouvelles énergies. C'est la mécanique que j'ai choisie en quatrième année, ce qui m'a amenée à faire un stage en calcul et simulation numérique et projetée sur mon avenir professionnel.

 
Mastersbooking : Vous avez créé une association au sein de l'école, dans quel but ?

Angéline : C'est une association pour la promotion des imprimantes 3D, destinée à former des étudiants de l'école mais aussi de élèves de terminale S qui connaîtront ainsi l'ESILV. Nous abordons aussi le sujet des objets connectés. Cette activité m'a donné une expérience du travail en équipe. J'ai également eu l'occasion de rencontrer des professionnels et partager mon expérience.
 

Mastersbooking : Que vous apporte votre double diplôme ?

Angéline : Ce double diplôme en ingénierie mécanique à l'ESILV et l'université anglaise me permet encore d'affiner mon projet professionnel. J'aimerais beaucoup travailler en bureau d'études dans le secteur de l'aéronautique, dans une grande entreprise telle qu'Airbus, par exemple. Puis, après avoir acquis suffisamment d'expérience, je souhaiterais travailler en tant que chef de projet et pourquoi pas, chef de service car l'idée de travailler avec une équipe sur divers projets m'attire fortement.

Propos recueillis par Nathalia Kapferer